dimanche 13 mars 2011

Au tour du Brésil.

Plus de trois mois ont passé depuis l’élimination du Brésil en quart de finale de la Coupe du Monde de la FIFA 2010, face aux Pays-Bas, futurs finalistes du tournoi. Pour un pays comme le Brésil et son palmarès footballistique inégalé sans parler des attentes qui vont avec, cette défaite a été vécue comme un coup d’arrêt précoce et douloureux dans la campagne sud-africaine. Déjà éliminée au même stade de la compétition lors de l’édition 2006 en Allemagne, c’est la première fois en vingt ans que la Seleção est sortie de la compétition avant les demi-finales lors de deux Coupes du Monde consécutives.
Mais lorsqu’on parle de football, le Brésil est incontestablement un pays à part. Après le choc initial qui a suivi l’élimination face aux Néerlandais, le pays n’a semblé montrer aucun ressentiment particulier envers son équipe nationale. Les drapeaux auriverde ont continué de flotter au vent, et le commerce des marchandises aux couleurs nationales liées à la Coupe du Monde est resté florissant, même plusieurs semaines après la fin du tournoi.
En 2014, nous aurons douze villes hôtes réparties dans plusieurs des magnifiques régions du pays. L’opportunité qui s’offre à nous aujourd’hui, et que nous ne manquerons pas de saisir, est de faire découvrir à tous non seulement le football brésilien, mais aussi le Brésil en lui-même
Ricardo Teixeira, président du COL, président de la Fédération Brésilienne de Football et membre du Comité Exécutif de la FIFA
Il ne s’agissait pourtant pas d’une prolongation des festivités en costumes qui animent traditionnellement le Brésil tous les quatre ans pour la Coupe du Monde : cette fois, les Brésiliens ne semblaient pas vouloir que retombe la fièvre de cette compétition, même si elle s’était achevée de manière moins glorieuse que d’habitude pour leur équipe nationale.
Pour trouver la principale raison de ce sentiment de fierté nationale, il suffit de se projeter moins de quatre ans dans l’avenir. Car au Brésil, le coup de sifflet final de la Coupe du Monde 2010 a donné le coup d’envoi d’un nouveau cycle de quatre ans qui culminera avec le retour du plus grand événement footballistique au monde dans le pays qui détient le record du nombre de sacres. Le Brésil n’a accueilli la compétition qu’une seule fois : en 1950, où il était aux prises avec douze autres pays. Les Sud-Américains sont donc impatients de recevoir de nouveau le monde entier dans ce que certains considèrent comme la patrie du football.
"Aucun pays au monde n’est davantage synonyme du football." C’est en ces termes que le Président de la FIFA, Joseph S. Blatter, a décrit le Brésil lors de la présentation officielle du logo de l’édition 2014, à Johannesburg à la fin du tournoi 2010. "Au Brésil, le football est une véritable religion. Quel autre pays au monde incarne mieux ce sport ?" Plusieurs des plus grandes stars brésiliennes qui ont marqué l’histoire de la Coupe du Monde étaient également présentes à la présentation du logo, dont Romário, vainqueur de l’édition 1994, qui a livré à FIFA World ses impressions concernant le tournoi 2014.
"C’est peut-être aller loin, mais je dirais que vous n’avez jamais vraiment vécu l’ambiance d’une Coupe du Monde tant que vous n’en avez pas vécu une au Brésil", déclarait l’ancien attaquant. "Je ne peux même pas imaginer ce que ce sera quand nous organiserons la compétition."
Sérieux et fiableLes supporters s’attendent déjà à une ambiance digne d’un carnaval lors de cette Coupe du Monde au Brésil, mais pour Romário, le tournoi représente également une opportunité pour ses compatriotes d’illustrer d’autres vertus de leur pays. "Le football, la fête, l’ambiance…Tout cela fait partie d’un visage du Brésil que tout le monde semble déjà connaître. Je pense qu’il nous faudra avant tout montrer que notre pays est sérieux et fiable. Il existe d’énormes attentes en termes de développement de notre pays dans plusieurs domaines : le social, l’économie… Je crois sincèrement que le monde verra le Brésil différemment après 2014."
Si cette "prophétie" vous rappelle quelque chose, c’est peut-être parce que l’organisation de la Coupe du Monde par le Brésil intervient immédiatement après l’édition sud-africaine, où l’accent a été mis avec succès sur l’héritage, le progrès social et le combat contre des stéréotypes profondément ancrés. En plus de partager une réputation d’excellent hôte, ces deux pays affrontent également des défis similaires dans des domaines comme les infrastructures et le renforcement de l’égalité sociale. Pour toutes ces raisons, le Brésil est une excellente destination pour la prochaine édition de la compétition phare de la FIFA, car le géant sudaméricain tentera d’obtenir les mêmes accomplissements que l’Afrique du Sud en dehors des terrains.
"Nos frères africains ont placé la barre extrêmement haut et nous allons forcément tirer des enseignements de leur réussite pour nous aider à faire de la Coupe du Monde de la FIFA 2014 un succès encore plus grand", reconnaissait le président brésilien Luiz Inácio Lula da Silva, le jour de la présentation du logo. "À compter de janvier 2011, je ne serai plus président de la République, mais je resterai un Brésilien. Et mon pays peut compter sur moi pour que nous travaillions ensemble pour organiser la plus belle Coupe du Monde de l’histoire. C’est là notre engagement."
Une scène immenseCela dit, le Comité Organisateur Local et le gouvernement brésilien sont conscients que la tâche qui les attend sera loin d’être simple. L’organisation d’une Coupe du Monde de la FIFA est toujours une opération complexe et titanesque, mais les défis sont considérablement plus relevés lorsqu’il s’agit d’accueillir le tournoi dans un pays de la taille du Brésil, dont la superficie de 8 514 877 km² en font la deuxième plus grande nation à recevoir le prestigieux tournoi, derrière les États-Unis en 1994.
Il y a soixante ans, pour la première Coupe du Monde organisée au Brésil, les stades étaient concentrés au sud et au sud-est du pays. Les six villes hôtes de l’édition 1950 (Rio de Janeiro, São Paulo, Belo Horizonte, Curitiba, Porto Alegre et Recife) seront de nouveau utilisées en 2014, mais cette fois le tournoi aura une toute autre ampleur et inclura six capitales d’État supplémentaires (Brasília, Cuiabá, Salvador, Natal, Fortaleza et Manaus).
Pour cette raison, il sera évidemment vital que les infrastructures soient fonctionnelles, car les organisateurs souhaitent s’assurer que les équipes, les journalistes et les supporters puissent se déplacement facilement au sein de ce pays gigantesque. C’est pour répondre à ce problème que la FIFA et le COL analysent actuellement les meilleures solutions pour réduire les temps de déplacement entre les matches.
Le gouvernement fédéral brésilien s’est déjà engagé à investir massivement pour améliorer les réseaux routiers et ferrés, ainsi que les aéroports du pays. Plus tôt dans l’année, le gouvernement a annoncé son intention de consacrer plus de 17 milliards de réal brésiliens (BRL) (USD 9,9 milliards) aux investissements liés à la Coupe du Monde. En plus de cela, des projets supplémentaires sont constamment entrepris, et notamment la rénovation des 16 aéroports des 12 villes hôtes, dont le coût de BRL 5,5 milliards sera financé par le gouvernement fédéral, comme l’a récemment garanti le président du Brésil.
Comme cela a été le cas avec la Coupe du Monde de la FIFA 2010, ces investissements bénéficieront à la population brésilienne longtemps après la fin du tournoi. "Toutes les infrastructures devraient être livrées pour la Coupe du Monde de la FIFA 2014, mais certains aspects sont réellement plus urgents, notamment les aéroports", reconnaît le ministre des sports, Orlando Silva de Jesus Júnior. "Nous espérons pouvoir accueillir environ 600 000 touristes étrangers ainsi que trois millions de Brésiliens."
Au-delà des investissements colossaux assurés par l’État, le secteur commercial brésilien entend bien tirer profit des opportunités offertes par le tournoi. Par exemple, au niveau des partenariats, l’impressionnante liste des affiliés commerciaux de la FIFA a enregistré en avril dernier l’arrivée de plusieurs entreprises brésiliennes de renom. Le fournisseur agroalimentaire mondial Marfrig a signé un partenariat concernant les Coupes du Monde de la FIFA 2010 et 2014, profitant de l’occasion pour populariser sa marque Seara. De plus, avant même la fin de la compétition sud-africaine, la plus grande entreprise de télécommunications du pays, Oi, ainsi que la première banque brésilienne, Itaú, se sont joints à l’aventure en devenant respectivement sponsor et supporter national de la Coupe du Monde de la FIFA.
Pour une sixième étoile ?Dans le domaine ô combien important des stades, les travaux sont déjà bien avancés dans la majorité des villes hôtes. Le légendaire Maracanã de Rio de Janeiro subit actuellement une rénovation majeure afin d’être prêt à accueillir sa seconde Coupe du Monde. Les travaux ont débuté en août, avec le retrait des sièges de l’anneau inférieur du stade, qui est complètement reconstruit. Depuis septembre, le stade est fermé en vue du début de travaux majeurs, qui incluent l’agrandissement du toit.
Des rénovations importantes ont également été entreprises dans le deuxième plus grand stade du pays, le Mineirão de Belo Horizonte, l’antre des deux grands clubs de l’État du Minas Gerais, l’Atlético Mineiro et Cruzeiro. Après la démolition de l’ancien Mineirão, un nouveau terrain a été installé 3,5 mètres en dessous du niveau du sol. Les travaux de reconstruction commenceront pour leur part en novembre. Fin juillet, un autre chantier majeur a débuté au Beira-Rio de Porto Alegre, le stade de l’Internacional, vainqueur de la Copa Libertadores 2010 et participant à la Coupe du Monde des Clubs de la FIFA 2010. À son arrivée, l’équipe de construction a été accueillie par le président Lula, et lui a offert un casque de chantier.
Ces dernières semaines, des scènes similaires se sont déroulées aux quatre coins du pays, que ce soit à l’occasion de la démolition d’anciens stades comme le Fonte Nova de Salvador et l’Estádio Governador José Fragelli (Verdão) de Cuiaba, ou pour la pose de la première pierre de la nouvelle enceinte de Brasília, le stade Mané Garrincha, le 27 juillet. À Natal, Manaus, Fortaleza et Curitiba, la planification ou les procédures d’appel d’offres touchent à leur fin, le début des travaux étant prévu en fin d’année ou au premier semestre 2011.
Si la principale attente des amateurs de football brésiliens pour 2014 est de voir leur équipe remporter une sixième étoiles, la première à domicile, les organisateurs locaux, les sponsors nationaux et le gouvernement fédéral sont clairement unis dans l’espoir que les milliards de spectateurs et téléspectateurs garderont en souvenir bien plus que du football lorsque le rideau tombera sur l’édition brésilienne.
"Le Brésil est déjà considéré comme un pays de football", soulignait Ricardo Teixeira, président du COL, président de la Fédération Brésilienne de Football et membre du Comité Exécutif de la FIFA. "Ce n’est pas seulement un cliché, ni un slogan, mais les faits parlent d’eux-mêmes : le Brésil est le seul pays à avoir participé aux dix-neuf éditions de la Coupe du Monde de la FIFA, et, bien entendu, à l’avoir remporté cinq fois."
"Mais en 2014, nous aurons douze villes hôtes réparties dans plusieurs des magnifiques régions du pays, ce qui donnera aux touristes la chance de visiter l’ensemble du Brésil, de ses plages fantastiques à l’exubérance de l’Amazonie, de ses montagnes à la savane tropicale du cerrado. L’opportunité qui s’offre à nous aujourd’hui, et que nous ne manquerons pas de saisir, est de faire découvrir à tous non seulement le football brésilien, mais aussi le Brésil en lui-même."

Pionnier Africain.

L'amour des Marocains pour le Football n'est pas à démontrer. Il suffit de faire un tour dans les Rues et les plages du Royaume pour s'en apercevoir. Cette culture footballistique ajoutée à l'hospitalité légendaire du Marocain fera sûrement du Mondial 2010 une fête inoubliable et une réussite Populaire.
Les prestations des Lions de l'Atlas lors des coupes du monde auxquelles ils ont participés ont été unanimement saluées par les observateurs internationaux. Et n'oublions pas que le Maroc est inscrit dans l'histoire africaine comme étant le premier pays du continent ayant réussi à se qualifier au deuxième tour d'une phase finale de coupe du monde.
Palmarès du onze national.

Classement FIFA: Le Maroc gagne 8 places.

Le Maroc a gagné huit places dans le nouveau classement de la Fédération internationale de football (FIFA), publié mercredi, grimpant de la 74è à la 66è place avec 493 points.

Le meilleur classement de l'équipe nationale est la 10ème place occupée le 22 avril 1998.

Au niveau continental, le Maroc occupe désormais le 12è rang, derrière le Ghana, la Côte d'Ivoire, l'Egypte, le Nigéria, le Burkina Faso, le Cameroun, la Guinée, la Tunisie, l'Afrique du sud, l'Algérie et le Gabon.

Le classement FIFA est toujours dominé par les champions du monde en titre espagnols, devant les Pays-Bas, finalistes du Mondial-2010, et l'Allemagne. Par contre, le Brésil a reculé de la 4è à la 5è position et l'Argentine a pris sa place.

Le prochain classement sera dévoilé le 13 avril.

Voici, par ailleurs, le classement publié mercredi:.

1. Espagne 1880 pts.
2. Pays-Bas 1730.
3. Allemagne 1486.
4. Argentine (+1) 1412.
5. Brésil (-1) 1411.
6. Angleterre 1212.
7. Uruguay 1172.
8. Croatie (+1) 1071.
9. Portugal (-1) 1060.
10.Grèce 1038.
11. Italie (+2) 957.
. Norvège 957.
13. Russie (-1) 956.
14. Chili 954.
15. Japon (+2) 938.
16. Ghana (-1) 931.
17. Slovénie (-1) 916.
18. France (1) 913.
19. USA (-1) 894.
20. Serbie (+3) 872.
...
66. Maroc (+8) 493.

Gerets présélectionne 30 joueurs Marocain pour le match face à l'Algérie.

Le sélectionneur national Eric Gerets a rendu publique, jeudi, une liste de 30 joueurs, dont 15 évoluant au Championnat national, présélectionnés pour le match Algérie-Maroc, prévu le 27 mars à Annaba dans le cadre de la 3è journée (Gr.D) des qualifications à la Coupe d'Afrique des nations (CAN-2012) de football.
Cette liste est marquée par la convocation pour la première fois des joueurs Abdenbi Lahrari et Mustapha Mrani du Moghreb Fès et Hassan Tair du Raja de Casablanca, ainsi que par le retour du défenseur Jamal Alioui (WAC).

En prévision de cette rencontre, les Lions de l'Atlas avaient disputé deux matches amicaux, contre l'Irlande du Nord le 17 novembre à Belfast (1-1) et le Niger le 9 février à Marrakech (3-0).

Le Maroc est en tête du groupe D avec 4 points après un match nul (0-0) à Casablanca face à la Centrafrique et une victoire (1-0) en Tanzanie, ex aequo avec la Centrafrique qui le devance au goal-average (+2 contre +1).

La Tanzanie occupe la 3è place avec un seul point et une différence de buts de -1, devant l'Algérie (-2)Voici, par ailleurs, la liste des joueurs présélectionnés:.

1. Jamal Alioui (Wydad Casablanca).
2. Oussama AS-Saidi (SC Heerenveen/NED).
3. Issam Badda (FUS Rabat).
4. Abdelilah Bagui (Chabab Al Hoceima).
5. Michael Bassir (AS Nancy Loraine/FRA).
6. Youness Belhanda (Montpellier HSC/FRA).
7. Moutaqui Mehdi Benatia (Udinese/ITA).
8. Mohamed Berrabeh (Wydad Casablanca).
9. Abdelfattah Boukhriss (Standard de Liège/BEL).
10. Mbarek Boussoufa (RSC Anderlecht/BEL).
11. Mehdi Carcela (Standard de Liège/BEL)
12. Marouane Chamakh (Arsenal/GB).
13. Mohamed Chihani (Moghreb Fès).
14. Youssef El Arabi (SM Caen/FRA).
15. Mohamed Amine El Bakkali (FUS Rabat).
16. Mounir El Hamdaoui (Ajax Amsterdam/NED).
17. Yousouf Hadji (AS Nancy Lorraine/FRA).
18. Adil Hermach (RC Lens/FRA).
19. Ahmed Kantari (Stade Brestois 29/FRA).
20. El Mehdi Karnas (Difaâ El Jadida).
21. Houssine Kharja (Inter Milan/ITA).
22. Abdenbi Lahrari (Moghreb Fès).
23. Nadir Lamyaghri (Wydad Casablanca).
24. Hicham Mahdoufi (Raja Casablanca).
25. Ahmed Mohamadina (Olympique Khouribga).
26. Mustapha Mrani (Moghreb Fès).
27. Mohamed Amine Nejmi (Olympique Khouribga).
28. Rachid Soulaimani (Raja Casablanca).
29. Adel Taarabt (Queens Park Rangers/GB).
30. Hassan Tir (Raja Casablanca).
 
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SOULAIMANI a reçu le trophée DimaDimaRaja.Com.

C’est enfin la délivrance pour tous les fanas du beau football de l'équipe du RAJA. La réponse à la question que vous vous êtes tous posés vient de tomber. Le meilleur joueur du RAJA pour l'année 2010 ?  C’est du passé ! Rachid SOULAIMANI a remporté pour la première fois le trophée du meilleur joueur du RAJA présenté par le site officiel des supporters du RAJA, DimaDimaRaja.com.
Pour ceux qui ne suivaient pas assidûment le club des millions, le RAJA, les supporters des verts, à travers un sondage organisé par DimaRimaRaja.com, ont récompensé le latéral droit du RAJA et international Marocain, Rachid SOULAIMANI, qui ne cesse de s'illustrer par son jeu ultra chatoyant ainsi que son sérieux, sa combativité et son amour pour le maillot du RAJA.Félicitations Rachid.

Le Grand stade de Casablanca

Le Grand stade de Casablanca, initialement prévu à Bouskoura, puis à Sidi Moumen  sera finalement construit à Lahraouiyine ( commune de Médiouna) et sera  prêt  fin 2014  pour abriter le match inaugural des compétitions de la CAN 2015 dont l'organisation a été attribuée au Maroc par le Comité exécutif de la CAF. La date du déroulement  de la CAN n'est pas encore arrêtée mais elle devrait se situer entre janvier et avril 2005.

Le maitre d'œuvre est la SONARGES qui est le bras armé du Ministère de la Jeunesse et des Sports pour développer les infrastructures sportives.

Ce grand stade devra occuper une superficie de 64 hectares. Il aura une capacité de 80 000 places soit presque le double de celui de Marrakech. Il sera doté de toutes les structures  appropriées comme les espaces d'accueil, les loges et les espaces business selon la SONARGES. Le budget alloué aux travaux de construction de ce stade s'élève à 2,08 milliards de dirhams (180 millions d'euros). A titre de comparaison, le nouveau stade de Wembley d'une capacité de 90 000 places a couté la bagatelle de 1,2 milliard d'euros .

Il semblerait que la piste du stade sera couverte par les gradins comme pour le stade de France. D'autres voix affirment qu'il y aura des tribunes mobiles.

LA Sonarges et les autres parties du projet sont en train d'examiner les offres présentées par les sept meilleurs cabinets d'architecture au monde. Le projet gagnant sera annoncé en mai 2011.Entre juin et décembre 2001, les études seront réalisées et les travaux commenceront en janvier 2012.La durée de ces travaux sera de 34 mois .

Que deviendra le stade mythique  Mohamed V? Tombera-t-il sous le giron  de la SONARGES qui sera appelée à le mettre à niveau et à l'exploiter. ou bien continuera-t-il à être géré par la Ville ? Des négociations seront certainement entamées pour fixer le sort de ce stade qui, rappelons le , doit être  lui aussi fin prêt en 2014.

Casablanca aura enfin un stade digne de sa grandeur et de son amour pour le sport en général et le football en particulier.

Maintenant que la décision est irrévocable et que le dead line  est connu , le stade de Casablanca devrait être
un élément majeur pour notre ville en termes de qualité d'architecture, de respect de l'environnement et du confort du public ,d'accessibilité et de desserte pour les transports.

D'ores et déjà, un plan de transport doit être élaboré , des centres commerciaux implantés, des zones de verdure dégagées et aménagées pour créer un lieu de vie et de convivialité.

Au Raja de profiter de cette dynamique pour créer au sein de la zone mitoyenne, pourquoi pas à l'intérieur de la zone du grand stade, un centre d'entrainement et de mise en forme voire un nouveau centre de formation  aux normes internationales.
On apprend aujourd’hui selon le journal marocain l'économiste que , LES noms des groupements d’architectes présélectionnés au concours relatif à la conception architecturale du grand stade de Casablanca sont connus.

Les sept candidats retenus sont issus de plusieurs pays (Etats-Unis, Angleterre, Espagne, Portugal et France) et comme il fallait s’y attendre font référence. «Nous avons présélectionné, parmi une trentaine de candidats, des poids lourds de renommée internationale, tous associés obligatoirement à des architectes marocains», indique Khalil Amine Benabdellah, président du directoire de la Société nationale de réalisation et de gestion des stades (Sonarges). Il s’agit, en effet, des plus grands noms de l’architecture à l’échelle mondiale, tels que les groupes «Nbbj» et «360 Architecture Inc.». Originaire des Etats-Unis, ce dernier a contribué à la réalisation du «Meadowlands Stadium», un stade de football américain érigé dans la banlieue ouest de New York et dont la capacité est de 82.000 places. «Populous Ltd» est une agence d’architecture anglaise qui a conçu le stade de Wembley (90.000 places) en Angleterre. D’autres ont participé à la conception architecturale d’Emirates Stadium (60.000 places), des stades de Valence (75.000), de Lisbonne (65.000), de Porto (70.000), d’Istanbul (75.000) et de France (80.000 places).
Les candidats retenus ont jusqu’au début mai 2011 pour remettre à la Sonarges des propositions de projets. «Le choix du groupement d’architectes devrait se faire deux ou trois semaines après la désignation du gagnant du concours», souligne Benabdellah.
Le Grand stade de Casablanca a fait l’objet de plusieurs conceptions architecturales. Prévu initialement à Bouskoura puis à Sidi Moumen, ce méga projet sera finalement érigé à Tit Mellil sur un terrain de 64 ha au lieu de 100. Le dernier changement de l’emplacement du stade a été justifié par «des raisons de réaménagement des priorités relatives aux équipements sportifs» et des explications liées à «une meilleure prise en compte des contraintes urbanistiques de la région du Grand Casablanca en général et du site de Sidi Moumen en particulier». C’est un groupement franco-marocain, composé d’Archi Design et du cabinet parisien d’architectes SCAU (Société de conception d’architecture et d’urbanisme), qui avait remporté le dernier concours d’architecture. Un concours auquel aucune suite n’a été donnée. (Voir L’Economiste du 11/10/2010).
Pour l’heure, la Sonarges est en train d’étudier le projet. Entamées depuis juin 2010, les études devraient être achevées en décembre prochain. Parallèlement à cette phase d’études et de conceptions, le maître d’ouvrage finalise aussi le cahier des charges relatif aux travaux de construction du stade. Le chantier devrait être lancé à partir de janvier 2012. Selon le calendrier de la Sonarges, les travaux devraient durer quelque 36 mois pour une livraison en 2015. Le coût de réalisation de ce stade new generation est évalué à 2,08 milliards de DH. Il devra accueillir en résidence les deux plus grands clubs de football du Royaume. «L’actuel stade d’honneur ne devrait plus abriter de matchs de football», souligne Benabdellah. Et d’ajouter que «c’est le Conseil de la ville qui déciderait du sort de ce terrain situé au cœur d’un quartier résidentiel et commercial». D’une capacité de moins de 80.000 places, le futur stade de Casablanca sera doté d’un centre d’expositions et de foires, d’un centre de conférences et de séminaires, d’un centre commercial, d’un stade annexe en plus d’un musée de sport.

vendredi 18 février 2011

Claude Puel, "Le Real Madrid ne pourra jamais rivaliser avec le FC Barcelone"

Avant d'affronter le Real Madrid en Ligue des Champions avec l'OL, Claude Puel s'est exprimé sur son futur adversaire et l'illustre José Mourinho.
L'OL reçoit Nancy vendredi soir avant d'affronter le Real Madrid en Ligue des Champions, mardi. L'occasion pour Claude Puel de s'exprimer sur la rivalité Real - Barça en Espagne. "Le Real ne pourra jamais rivaliser avec ce Barcelone-là, a-t-il confié au quotidien ibérique As. Je veux dire collectivement et sur le plan du jeu de passe. Le Barça est une école de football." Mais le coach lyonnais sait comment les Madrilènes peuvent battre le FC Barcelone: "En jouant comme l'a fait Arsenal (victoire 2-1 des Gunners en Ligue des Champions mercredi, ndlr). Avec un bloc défensif solide et en leur laissant le ballon et en espérant."
"José Mourinho est un acteur"
L'ancien entraîneur de Lille connait bien le club merengue pour l'avoir affronté au même stade de la compétition la saison dernière (qualification de l'OL: 1-0, 1-1). Mais quelque chose a changé au club madrilène depuis: José Mourinho est arrivé. "C'est un personnage, lâche Puel. Il l'a créé lui-même et l'utilise. Il est très intelligent. C'est un acteur, il joue avec la presse." Le technicien rhodanien "aime beaucoup la manière qu'il (José Mourinho) a d'impliquer ses joueurs dans ses principes. Le fait qu'il arrive à faire défendre un attaquant veut dire qu'il a un extraordinaire pouvoir de persuasion." Il juge 'fabuleuse' la manière qu'il a de faire passer ses messages et que tout l'entourage soit derrière lui".
Mais Puel, qui a "eu l'occasion de rencontrer Mourinho et de parler avec lui à de nombreuses réunions de l'UEFA" raconte que le personnage "a deux facettes": "En dehors de ce cirque, c'est quelqu'un de très intéressant et cultivé." Mais il assure que la confrontation en Ligue des Champions "n'est pas un défi entre entraîneurs".

La finale la plus chère de l'histoire.

Le samedi 28 mai 2011, les supporteurs assisteront dans les travées de Wembley à la finale de la Ligue des Champions la plus chère de l'histoire ! L'UEFA a fixé le prix des places entre 210 et 389 euros.
Saturday night fever à Londres le 28 mai 2011 ! La finale de la Ligue des champions, qui se déroulera un samedi comme la saison dernière, fera monter la température dans les tribunes de Wembley mais aussi... dans le portefeuille des supporteurs. L'entrée du plus grand événement footballistique de l'année sera très select puisque les places en tribunes neutres ne se monnaieront pas à moins de 210 euros révèle The Guardian. Un prix élevé qui n'est pas du goût des amoureux du ballon rond... 
500 millions d'européens, 11 000 places
Wembley est un lieu cinq étoiles pour l'UEFA. Le deuxième plus grand stade européen (90 000 places) après le Camp Nou de Barcelone, accueillera le 28 mai prochain, la finale de Ligue des Champions la plus chère de l'histoire. Cela s'explique notamment par le fait que le nombre de places est limité. Pour le public dit "lambda", non apparenté à un club finaliste en particulier, devra se contenter de 11000 places. Autre frein à partager ce grand rendez-vous européen en tribunes, les supporteurs neutres devront dépenser entre 178 et 357 euros par ticket, suivant la proximité, ou non, de la pelouse.  
Chez les supporteurs, c'est la colère !
50 000 places ont été allouées aux supporteurs des deux formations finalistes. Pour mettre l'ambiance et encourager leurs équipes au sein même de l'enceinte, les fans devront payer pas moins de 95 euros pour une place en dernière catégorie. Une exigence financière qui ne satisfait pas du tout la Fédération des Supporteurs de Football (FSF) qui dénonce une exagération de l'UEFA: "C'est prix sont parfaitement scandaleux (...). Dans la contexte de crise économique, aussi bien en Angleterre qu'à travers l'ensemble de l'Europe, cette décision est une exploitation honteuse des supporteurs", assure le porte-parole Malcolm Clarke. 
Du côté de l'UEFA, on réfute tout racket: "Cette finale n'est pas hors de prix si on l'a compare à d'autres événements de cette ampleur", défend l'organisateur des événements de l'UEFA, Giorgio Marchetti. Le football est avant tout une grande fête... mais qui a son prix.

mercredi 9 février 2011

Duel inédit entre Lionel Messi et Cristiano Ronaldo.


Si les deux superstars se sont déjà croisées à plusieurs reprises en club, c'est la première fois que l'Argentin et le Portugais s'affrontent au niveau international. L'occasion de se jauger une nouvelle fois.
Lionel Messi et Cristiano Ronaldo n'en finissent plus de se retrouver. Sans cesse comparés et opposés, les deux stars du Barça et du Real Madrid se livrent déjà à distance en club un duel pour le titre de meilleur buteur (24 buts chacun en Liga). Mercredi soir, ils se croiseront une nouvelle fois mais avec leur pays respectif. L'Argentine et le Portugals'affrontent à Genève pour la première fois depuis près de 40 ans. Évidemment, voir Messi et Ronaldo sur un même terrain international est donc inédit.
Si le dernier double Ballon d'or semble inarrêtable cette saison (1,3 buts par match en moyenne en Liga + 14 passes décisives), Messi n'est pas encore prophète en son pays. Malgré 54 sélections, il n'a inscrit que 15 buts (0,28 but par match), ce qui traduit son manque de rayonnement avec l'Albiceleste, comparé à ce qu'il fait avec le Barça. Cristiano Ronaldo, un peu moins "brillant" que Messi en Liga (1,1 but par match en moyenne en Liga + 6 passes décisives), est en revanche bien plus influent que ne l'est son compère en sélection. Avec 25 buts en 79 capes, l'enfant de Madère affiche un ratio de 0,32 but par rencontre.
Le 7e duel
Ce sera en tout cas la 7e fois que les deux hommes s'affrontent. Si CR7 avait bien démarré la série avec un match nul et une victoire lors des demi-finales de Ligue des Champions en 2008, Messi a depuis bien pris sa revanche. L'année d'après, les Blaugrana ont triomphé en finale de C1 face aux Red Devils et depuis que le Portugais est au Real, le Barça glane tous les Clasicos... "Je n'ai rien à dire en particulier sur Ronaldo, a sobrement déclaré Messi. Ça va être un match spectaculaire pour le public." L'histoire continue.

Les 5 raisons de voir les Bleus avec le sourire.


L'équipe de France affronte le Brésil mercredi soir au Stade de France. Le groupe semble détendu et très souriant. Chronofoot vous explique pourquoi tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes pour les Bleus.
1. Un match de gala: L'équipe deFrance affronte la nation du football. Pour jouer face au pays qui prône "l'ordre et le progrès", la motivation est décuplée. Devant leur public, les Bleus auront à cœur de faire bonne figure. Et puis, on oublie la pression, ce n'est qu'un match amical. De toute façon le Brésil n'a plus battu la France depuis 1992...
2. Un nouveau maillot: Les Bleus font peau neuve pour cette nouvelle année. Nouveau maillot, nouvel équipementier, de quoi être pressé d'en découdre avec la bande à Menezes. Maintenant qu'ils sont tout beaux et tout propres, ce serait dommage de gâcher la fête par une défaite.
3. Une ambiance de folie: L'équipe de France vit bien... très bien. A l'image de la paire Mexès-Rami qui ne cesse de clamer son amour à qui veut bien l'entendre, les Bleus sont soudés et heureux d'être ensemble. "Je vous assure que cette ambiance est globale", s'esclaffe Adil Rami. Moi, pendant un mois, je m'entraîne à retenir les blagues que je fais ou que j'entends à Lille pour les ressortir en équipe de France ! Je veux trop les partager". Peut-être est-ce grâce à Laurent Blanc, peut-être que des mauvais bougres ne font plus partie de l'équipe, quoiqu'il en soit, ces Bleus là, voient la vie en rose. Le Stade de France qui affichera complet ne peut que s'en réjouir.
4. Un groupe homogène: Avec deux tiers de l'effectif (14 sur 23) nés entre 1985 et 1988, les Bleus possèdent un groupe d'une même génération. Les doyens Abidal, Malouda et Reveillère (tous d'anciens Lyonnais) et leurs 31 ans ne sont pas non plus largués. Les guerres de clans semblent être un lointain souvenir.
5. Plus de problèmes extra-sportifs: Les Français commencent à oublier petit à petit le Mondial catastrophique en Afrique du Sud. De même, le problème des primes est sur le point de se régler comme le précise Laurent Blanc: "D’après ce que je sais, ça va se régler. Ne croyez pas que les joueurs ont pris les sous. Ils ont été très clairs. Ils renoncent à leurs primes Certes, il y en a cinq ou six qui n’ont pas encore signé le document administratif. Encore fallait-il que ce document leur parvienne. C’est chose faite actuellement. Je ne me fais aucun souci, ils vont le signer". Les Bleus n'ont plus que la tête au jeu, et ça semble les soulager.

Quand José Mourinho gagnait 60 euros par mois.


Un ancien vice-président puis président du FC Barcelone a révélé quelques anecdotes croustillantes du temps où José Mourinho était le traducteur de Bobby Robson.
Joan Gaspart, ancien vice-président du FC Barcelone du temps du règne de Josep Lluis Nunez, a connu José Mourinho à ses tout débuts, lorsqu'il était le traducteur de Bobby Robson, alors entraîneur du Barça. "Je me souviens de quelqu'un de charmant"commente-t-il sur COM Radio. Il explique ensuite que tout n'a pas toujours été rose pour l'actuel coach du grand rival madrilène, qui gagnait misérablement sa vie à l'époque avec 10 000 pesetas (60 euros) par mois.
"Le jour où on l'a embauché, Monsieur Nunez (président de l'époque) a eu une petite discussion avec Bobby Robson pour lui expliquer qu'il ne voulait en aucun cas avoir recours à un traducteur. Robson lui a dit que c'était très important pour lui de l'avoir à ses côtés. Mourinho était dans la pièce à côté et finalement Ninez a fait une concession et lui a offert 10 000 pesetas par mois", poursuit Gaspart. Une sacrée concession pour un club comme le Barça ! Nunez sera même grand seigneur avec le Mou: "Mourinho a dit qu'avec ça il ne pourrait pas vivre et Nunez a finalement été d'accord pour l'augmenter un peu, mais pas beaucoup."
Du simple traducteur au meilleur entraîneur du monde
"A l'époque, Mourinho était traducteur et je suis intervenu pour qu'il soit payé un peu plus mais pas trop non plus, raconte l'ancien vice-président catalan. Au final, Mourinho a vécu ses premiers mois à Barcelone dans la chambre d'un de mes hôtels, sans rien payer parce qu'il n'avait pas assez d'argent pour se payer quoi que ce soit." 
Mais, le chance du petit José a fini par tourner: "Mais quand il a fini par démontrer qu'il était bien plus qu'un simple traducteur nous l'avons payé beaucoup plus." José Mourinho a donc connu quelques galères mais sa détermination l'a mené là où il est aujourd'hui, au titre de meilleur entraîneur du monde. 

vendredi 4 février 2011

Evra, la fin du monde Bleu?

Jeudi après-midi, Laurent Blanc, le sélectionneur national de l'équipe de France, a dévoilé la liste des 23 joueurs retenus pour affronter le Brésil, le 9 février prochain, en match amical au Stade de France. De nouveau sélectionnable après le fiasco de la dernière Coupe du monde en Afrique du Sud, Patrice Evra a été invité à rester à la maison. Si bien qu'à 29 ans, le le latéral gauche de Manchester United a peut-être tourné définitivement tourné la page internationale.

Depuis la fin de l'aventure sud-africaine des Bleus en juin dernier, bon nombre de joueurs présents notamment à l'occasion du fameux épisode de la grève et du "bus de la honte", ont fait leur retour en équipe nationale, plus ou moins rapidement pour certains. Sept mois après, Patrice Evra comptait sans doute pouvoir tirer un trait sur ce triste épisode de sa carrière et pouvoir débuter une nouvelle aventure internationale au moment où les troupes de Laurent Blanc se préparent à accueillir le Brésil, au Stade de France, pour un match amical programmé le 9 février prochain.

"Un choix sportif" de Blanc

Il n'en sera rien puisque le latéral gauche de Manchester United n'a pas été convié à la fête par le "Président", qui lui a notamment préféré Gaël Clichy etEric Abidal à son poste. "C'est un choix sportif", a immédiatement précisé le champion du monde 1998, qui ne souhaite évidemment pas que sa décision soit mise en parallèle avec les récents propos de Chantal Jouanno, la Ministre des Sports, qui ne voulait pas entendre parler du retour en Bleu du gamin des Ulis.

Non, malgré ses erreurs passées, qu'il a payées par une suspension, le n°13 de MU était bien sélectionnable. Il n'a simplement pas été retenu car pas assez bon au regard de Blanc. "Eric Abidal a fait un bon retour en équipe de France, on l'a vu en Angleterre en novembre dernier, et il confirme avec le FC Barcelone", s'est-il justifié en conférence de presse. Quant à Gaël Clichy, il revient bien: "Il a connu une baisse de régime à l'automne, j'en ai parlé avec Arsène Wenger, mais c'est un jeune joueur qui garde une belle marge de progression".

Et voilà comment, à 29 ans, Patrice Evra se retrouve le bec dans l'eau. Moins bon que son rival Blaugrana depuis l'entame de l'exercice en cours, le natif de Dakar ne représente forcément pas l'avenir de l'équipe de France. Avec déjà un joueur expérimenté au poste de latéral gauche en la personne d'Abidal, l'ancien Monégasque, qui rend quatre ans à son homologue d'Arsenal, semble donc être de trop.

Parmi les "victimes" de Knysna, le Mancunien pourrait donc figurer, à terme, en tête d'affiche. SiNicolas Anelka est suspendu, Marc PlanusWilliam GallasLassana DiarraDjibril Cissé,André-Pierre Gignac ou Sidney Govou ne figurent plus dans les petits papiers du successeur de Raymond Domenech alors que Jérémy Toulalan, entamé mentalement par cette expérience, ère comme une âme en peine sur les pelouses de Ligue 1. Quant à Evra, lui, il semblait avoir très vite digéré.

Une 32e et dernière sélection?

Dans l'esprit du principal intéressé, peut-être que tout est désormais rentré dans l'ordre, mais ses performances sur le pré n'ont pas convaincu Laurent Blanc. Crédité de 32 sélections, l'ancien Monégasque pourrait bien avoir dit adieu, sans le vouloir, à une équipe de France qu'il disait tant chérir quelques mois auparavant. Reste à savoir quels souvenirs pourrait laisser le protégé de Sir Alex Ferguson au niveau international... Sous l'ère Domenech, avec Abidal replacé dans l'axe et un Clichy trop irrégulier, Evra n'avait jamais eu de véritable concurrence. Peut-être était-il alors trop "installé" pour réellement hausser son niveau de jeu.

Pour ajouter à cela, pointé du doigt pour son comportement au sein du groupe en Afrique du Sud, le Mancunien n'apparaît peut-être pas, aux yeux du sélectionneur national, comme un personnage capable de se fondre dans le nouveau groupe qui a commencé à prendre forme en Bosnie en septembre 2010. A moins bien sûr que certains éléments ne fassent changer d'avis le champion d'Europe 2000.

Compétiteur devant l'éternel, provocateur au possible, encore dernièrement en s'en prenant avec aplomb à Arsenal, cité en exemple pour le jeu alors qu'il ne gagne rien, le gaucher ne souhaitera sans doute pas en rester là. Lui qui se projetait peut-être déjà avec le maillot Bleu sur les épaules lors de l'Euro 2012 voit le wagon tricolore s'éloigner progressivement loin de lui. Vite, il sera bientôt hors de portée...

Cristiano Ronaldo traverse sa pire période.


428 minutes sans but... C'est la période en cours durant laquelle Cristiano Ronaldo n'a plus marqué avec le Real Madrid, soit sa plus longue phase de mutisme depuis son arrivée au club.
A l'image d'un Real Madrid qui a laissé s'échapper le Barça en tête de la LigaCristiano Ronaldomarque le pas. Un coup de mou pour le Portugais qui illustre bien sa mainmise sur le jeu madrilène. Mais s'il reste le meilleur buteur du championnat, avec 22 réalisations en 21 journées, CR7 traverse sa pire période d'inefficacité depuis qu'il a rejoint le Real en 2009: avec 428 minutes sans marquer, soit plus de 7 heures, le Ballon d'Or 2008 est à la peine. Très sollicité depuis le début de saison, Cristiano Ronaldo connaît donc un légitime contrecoup.
Si sa dernière réalisation n'est pas si lointaine (20 janvier, en quarts de finale de Coupe du Roi contre l'Atlético), il s'est déroulé quatre matches depuis. Avec déjà 32 buts en 34 rencontres toutes compétitions confondues cette saison, l'ex-joueur de Manchester United vient donc de battre son record sans but au Real, qui datait de 388 minutes en tout début de saison. Mais il est encore loin de son record tout club confondu, lors de la saison 2005-2006, où, avec les Red Devils, il n'avait pas trouvé le chemin du but pendant 888 minutes. 

lundi 31 janvier 2011

Liga: Les 10 catastrophes qui pourraient s'abattre sur le FC Barcelone.

Jamais le Real Madrid n'a réussi à remonter plus de 5 points au FC Barcelone. La dernière fois c'était en 2006/2007 sous Fabio Capello. Chronofoot a compilé les 10 catastrophes, plus ou moins ubuesques, qui pourraient empêcher le Barça d'être sacré champion
1. La corruption: Une grande affaire de corruption éclate de l'autre côté des Pyrénées. Le club catalan aurait payé des arbitres pour qu'ils protègent ses meilleurs éléments. Le club est rétrogradé en deuxième division. 
2. Cristiano Ronaldo veut aller au Barça: Agacé de devenir le "looser" de service, CR7 déclare sa flamme au club catalan. Ainsi, il espère que le meilleur joueur du monde va enfin jouer pour le meilleur club du monde. La possible venue de l'étalon portugais perturbe le vestiaire et enraye la belle mécanique barcelonaise. Finalement, CR7 soulève le trophée en fin de saison et se fait tatouer les initiales de José Mourinho sur le biceps droit.
3. Des blessures: Lors du huitième de finale retour de Ligue des Champions face à Arsenal, la cheville de Lionel Messi croise les crampons de Bacary Sagna. Le double Ballon d'Or sort en pleurant de la pelouse. Sa saison est terminée et celle du Barça se complique sérieusement. Iniesta et Xavi se blessent une semaine plus tard en se télescopant pour récupérer une passe mal ajustée d'Abidal. CR7 sourit devant sa télé, il sait que le Ballon d'Or 2011 est déjà pour lui.
4. Le deuxième set: Le 17 avril 2011 est à marquer d'une pierre blanche. Les hommes de José Mourinho effacent l'affront fait à l'aller et s'imposent en inscrivant une "Nadal". 6-0, grâce à un sextuplé de Benzema.
5. Le Dopage: Après Contador, c'est un autre sportif espagnol qui est contrôlé positif. Afin de soigner de gênantes hémorroïdes, David Villa utilise une crème à la cortisone qui contient des produits dopants. Bilan 6 mois de suspension pour le numéro 7 catalan. Le vestiaire ne se remet pas de l'absence de son buteur et dégringole.
6. Le scandale sexuel: Il n'y a pas qu'en Angleterre que ça fricote dans les vestiaires. La meilleure charnière centrale du monde Piqué-Puyol ne partage pas que l'ivresse du succès. Carles Puyol est vu à l'hôtel Princess Sofia de Barcelone en compagnie de Shakira, la chérie de Gérard Piqué. Les deux hommes règlent ça au bras de fer, Gérard se fait Piqué sa meuf mais ne couvre plus les montées de Puyol sur le terrain. Le Barça encaisse but sur but et voit son avance fondre comme neige au soleil.
7. Les points de pénalité:  Les multiples affaires qui secouent le Barça perturbent aussi les dirigeants. Abidal est aligné face à Osasuna le 24 avril 2011. Seul hic, il était suspendu pour avoir reçu trop de cartons jaunes. Le Barça perd le match sur tapis vert et se voit retirer 6 points.
8. Guardiola au Qatar: Après des semaines de cour, Guardiola ne résiste plus aux sirènes des pétrodollars du Qatar. La fédération de foot qatarie s'attache les services du coach catalan pour les 10 prochaines saisons moyennant un salaire annuel de %#!@ d'euros. Messi et Xavi sont dépités, et le Barça perd son trône.
9. Le jeu aérien: Après des semaines de réunions secrètes, tous les entraîneurs de Liga ont trouvé la solution pour battre le Barça. Puisque lorsque le ballon est au sol, les Culé sont injouables, il faut s'adapter et proposer un football plus direct et aérien. Tous les joueurs de moins d'un mètre 80 sont relayés sur le banc de touche... 
10. La Catalogne: Pour éviter l'affront de voir son Real Madrid terminer à plus de 20 points du FC Barcelone, le roi espagnol Juan Carlos réclame au gouvernement d'accorder l'indépendance à la Catalogne. A la 37e journée, le FC Barcelone et l'Espanyol Barcelone sont virés de la Liga.

Liverpool : Fernando Torres à Chelsea, accord trouvé !

L'attaquant international espagnol de Liverpool, Fernando Torres, quitte les Reds pour rejoindre les Blues de Chelsea. La transaction avoisinerait les 60 millions d'euros.
C'est le plus gros transfert de l'histoire du mercato hivernal et un tournant dans la carrière d'El Nino ! L'emblématique attaquant des Reds, Fernando Torres, quitte la Mersey après 4 saisons dorées pour rejoindre le rival londonien Chelsea, selon le site officiel de Liverpool. Les deux clubs se seraient mis d'accord sur le transfert du champion du monde espagnol pour un montant estimé à 58 millions d'euros
Le joueur doit encore régler les derniers détails de son contrat avec les dirigeants londoniens avant d'arborer son nouveau maillot, bleu cette fois. Fernando Torres retrouvera à Chelsea Didier Drogba et Nicolas Anelka, un duo d'attaquants en perte de vitesse cette saison. La concurrence risque d'être féroce pour le plus grand bonheur des supporters de Stamford Bridge ! 

FAR-RAJA: Un oeil sur les Espoirs

Le Raja "Espoirs" a rencontré samedi l'équipe "seniors "de l'ASFAR au titre du second tour du"challenge" espoirs "après avoir éliminé le Waf par 3 buts à 1 au titre du 1er tour.
Le groupe a été battu sur le score d'un but à zero (1-0) suite à un pénalty imaginaire sifflé par le tout jeune arbitre contre le gardien Ataba. Ce penalty a été transformé par Ouaddouche (30 mn). Une minute auparavant, cet arbitre a refusé un penalty indiscutable sur une action irrégulière en pleine surface de réparation contre Charly.
Le Raja a monopolisé le ballon sans être efficace. Les jeunes joueurs alignés ainsi que les trois étrangers ont séduit par la qualité de leur jeu et leur finesse. Seul Denguir a été une fausse note. On se demande pourquoi Jrindou a attendu presque 80 mn pour le changer.
En 2ème mi-temps l'attaque rajaouie était esseulée. Charly était étroitement surveillé par la défense militaire, ce joueur demeure une valeur sûre.
Les arrières latéraux malgré leurs qualités techniques, n'ont fait aucune incursion dans le camp adverse. Dommage pour cette équipe qui méritait bien mieux.
L'idée d'organiser ce "Challenge Espoirs" nous parait être une bonne initiative dans la mesure où ce cycle de matchs nous a fait découvrir, et à tout le monde sportif, des jeunes joueurs talentueux à suivre par l’œil technique et l'entraineur Mr. Fakhir. Malgré le timing mal négocié, cela nous a permis, également, de donner du temps de jeu à certains seniors en quête de reconnaissance de leurs talents et de leurs disponibilités.
Un tournoi qui devrait être organisé avant l'entame de la Botola pour permettre éventuellement aux coachs de choisir les plus doués d'entre eux pour être incorporés à la liste des 30 et éviter ainsi des recrutements intempestifs et dispendieux.
Les matchs pourraient avoir lieu soit en plein ramadan pour les trois années à venir soit en période caniculaire. Il serait indiqué alors qu'ils soient joués en nocturne et ce d'autant plus que tous les stades des clubs de la ligue professionnelle 1 seront dotés obligatoirement de l'éclairage.
N’oublions pas de remercier le grand travail à l’ombre de Hilal ET-TAIR, nous souhaitons par la même occasion une très bonne chance aux jeunes espoirs du club.
Formation Alignée:
:out 16 Hamza MADANI ( :in 26 Abderrazak ANEBAR) ; 15 Zakaria ISMAILI ; 27 Abdessamad AKHOUILI ; 3 Nabil MZEOUI (:in 18 Hicham AIT LKRIF)
24 Souleymane DEMBA ; 4 Oumar DIOP :out 14 Abdelilah HAFIDI  (:in 13 Abdelaadim SIBI)  ;  :out 7 Bilal DANGUIR ( :in 25 Ismail BAABI) ;   :out 10 Yassine WAKILI ( :in 9 Soufiane MANFALOUTI)
30 Charlie DOPEKOULEYEN

dimanche 30 janvier 2011

CL CAF ORANGE 2011 : RAJA 10 TOURBILLON FC 1

Entrée en matière réussit par les joueurs du RAJA dans cette compétition Africaine.

Avalanche de buts et spectacle hier soir au complexe Mohamed V dans le match qui opposait le Raja au club thadien de Torubillon de n’djaména pour le compte du premier tour aller des préliminaires de la champion's league CAF orange. En effet, les poulains de Mhamed FAKHIR sont venus à bout de leur adversaire du jour sur le score sans appel de 10 buts à 1.

Les adversaires des « verts » ne vont tenir que 5 minutes avant de céder suite au premier coup de boutoir qui fut l’œuvre d’OUHAKI à la 9ème minute qui va reprendre un « caviar » servit  par MOUBARKI suite à un centre qu’il va  déposer sur la tête de son partenaire qui va ouvrir le compteur buts des rajaouis dans ce match. (1.0).

Le deuxième but du RAJA fut une action de grande classe, à une touche de balle, avec Koné à la manette. Le milieu de terrain rajaoui va adresser une passe dans l’intervalle de la défense tchadienne que va récupérer MOUBARKI qui distillera une deuxième passe décisive lors de cette rencontre sur TAIR qui va reprendre le ballon d’un plat du pied imparable en pleine surface de réparation inscrivant par la même occasion un but de toute beauté. (2.0, 12ème min)

Ismail Benlamaalem va inscrire le troisième but du RAJA suite à un mouvement d’ensemble ponctué par une erreur adverse que va exploiter le défenseur rajaoui monté aux avants postes.(3.0, 18ème min).

Hassan TAIR, très en vu lors de ce match, va semer à nouveau la panique dans la surface de réparation tchadienne ; après avoir grillé la politesse à trois défenseurs, il va centrer le ballon sur la tête de MOUBARKI qui va aggraver la marque. (4.0, 24ème min).

Sur un tir à l’entrée de la surface de réparation, le gardien du Tourbillon va être trompé par un de ses partenaires qui va dévier le ballon dans ses propres but alors qu’il était sur la trajectoire de la balle et allait s’en saisir. (5.0, 29ème min).

Moutouali viendra y mettre du sien en inscrivant le sixième but sur une mésentente de l’axe centrale tchadienne prise de vitesse par une attaque rajaouie lancée par OUHAKI qui va décaler Hassan TAIR et qui va par la suite combiner avec Moutouali pour inscrire le sixième but (6.0, 31ème min).

La mi-temps va intervenir sur le score de 6.0 en faveur du RAJA.

En seconde période, les rajaouis vont revenir avec les mêmes intentions offensives et vont continuer de faire le siège des buts tchadiens. A la 51ème min, Hassan TAIR, décidément l’homme du match, va inscrire le septième but sur un tir enveloppé qui va prendre à défaut le gardien adverse (7.0).

Aboucherouane entré quelques minutes auparavant, va profiter d’un ballon relâché par le gardien de Tourbillon suite à un tir de SOUARI, pour inscrire la huitième but du RAJA (8.0, 63ème min).

Les tchadiens vont à la surprise générale, sauver l’honneur par Habib Mahamat Saleh qui va inscrire un but à la suite d’une action individuelle (8.1, 67ème min).

Koné, sur un service d’Hassan TAIR, va inscrire d’un plat du pied le neuvième but du RAJA (9.1, 69ème min).

Hassan Souari va clôturer le festival buts en marquant le dixième but du RAJA. Il va réceptionner un centre de Soulaimani avant de battre le gardien adverse du pied gauche. (10.1, 83ème min)

Après cette large victoire, les rajaouis peuvent voyager sereinement pour le match retour qui aura lieu les 11,12 ou 13 février 2011 à N’djaména au Tchad.

dimanche 23 janvier 2011

OM: Mathieu Valbuena est au "fond du trou"


Le milieu de terrain de l'Olympique de Marseille digère très mal sa blessure.
L'incident s'est passé samedi matin à l'entraînement. Mathieu Valbuenas'est blessé lors d'un contact avec un coéquipier et s'est donné une déchirure du ligament latéral interne du genou gauche. Bilan: six semaines d'absence pour l'international français qui revenait en grande forme avec l'OM.
Ce coup dur a fait très mal au moral du joueur si l'on en croit les propos de son agent, Christophe Hutteau, sur les ondes de RMC"Il est au fond du trou. Il faut laisser passer quelques jours…". Ce sont les seules nouvelles que l'on peut avoir de Petit Vélo qui, pour le moment, ne souhaite pas communiquer. Des examens complémentaires sont programmés dimanche et lundi, mais Valbuena peut d'ores et déjà faire une croix sur le France-Brésil du 9 février prochain. Il pourrait en revanche être de retour pour le huitième de finale de Ligue des Champions face à Manchester United, le 23 février, espère le staff olympien.